AUTEUR(S)

Gary Gari Muriel

RÉSUMÉ

J’ai commencé à introduire ce type de récits, de manière exploratoire, dans mes interactions pédagogiques-expressives à la Faculté des Sciences et de l’Éducation de l’Université Distrital Francisco José de Caldas à partir, comme indiqué ci-dessus, des approches génériques de Gubern (1987) ; et il a été nourri par la suite avec les réflexions spécifiques qui ont été développées par d’autres auteurs tels que : Merino (2003) Bertúa (2010), Porbén (2012), Bautista (2017), Gonzáles (2019), Laguna (2019), Pérez et Pérez (2022) ; et surtout, dans son aspect recherche, Casado (2004), Oviedo (2017) et Orjuela (2018).
En effet, en réfléchissant sur mes explorations avec les récits intermédiaires (bandes dessinées) et en contrastant cette réflexion avec les approches des auteurs susmentionnés, j’ai repris et recréé certaines composantes sémiotiques des photonarratives, un des genres qui, selon Gubern (1987), constituent l’univers verboiconique ; pour l’adapter à mes besoins expressifs visant à créer des récits qui permettraient de combiner des éléments documentaires provenant de différentes sphères communicatives, dans des dispositifs intermédiaires, qui permettraient également de recueillir différentes perceptions et « voix » sur les événements vécus. Et qui, à terme, permettrait, si on le souhaite, de configurer des récits fictifs à partir des documents initiaux.

DOI

https://doi.org/10.59486/TEKX5987

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